Marion Bartoli “ne peux pas accepter” le comportement de Stefano Vukov, le coach d’Elena Rybakina
Stefano Vukov, le coach d’Elena Rybakina a fait polémique pendant cet Open d’Australie. Marion Bartoli fait partie de ceux qui n’ont pas aimé son comportement.
Dans le dernier épisode de Match Point, Marion Bartoli a lourdement critiqué le comportement de Stefano Vukov, l’entraîneur d’Elena Rybakina au cours de cet Open d’Australie, dans la foulée de l’ancienne joueuse américaine Pam Shriver.
“La manière dont le coach de Rybakina lui parle lorsqu’elle est sur le terrain n’est pas quelque chose que je peux accepter, je n’en peux plus,” a déclaré la gagnante de Wimbledon 2013, qui s’exprimait en anglais dans ce programme diffusé sur notre édition internationale.
“J’espère sincèrement pour son bien être qu’elle sera capable de continuer à jouer en trouvant un entraîneur qui lui parle respectueusement, peu importe le résultat parce qu’elle fait vraiment de son mieux sur le court.”
La Française a révélé avoir déjà constaté le mauvais comportement de Vukov lorsqu’elle était sur le circuit.
“De voir quelqu’un lui parler d’une manière si négative, et je l’avais déjà vu moi-même par le passé, lorsque j’entraînais Jelena Ostapenko et que nous étions au même tournoi, sur les terrains d’entraînement sans caméras, il se comporte d’une manière que je ne peux pas accepter.”
Bartoli rejoint ainsi l’avis de Pam Shriver ancienne numéro 1 mondiale en double qui avait tweeté après la victoire d’Aryna Sabalenka : “Lorsque je regarde Rybakina essayer de gagner son deuxième tournoi du Grand Chelem en sept mois, mon espoir est qu’elle pourra trouver un entraîneur qui lui parle et la traite avec respect en permanence et qu’elle n’acceptera plus jamais quoi que ce soit d’autre.”
Elena Rybakina avait elle même défendu son coach sur les réseaux sociaux en décrivant les critiques reçues par Vukov comme “dérangeantes” et des “fake news“. Elle a également ajouté “Nous avons mis enlacé ensemble, une stratégie pour que je puisse accomplir des grandes choses. Sa méthode m’a menée à des succès en Grand Chelem jusque là. C’est un entraîneur passionné, qui s’y connaît en tennis. Ceux qui me connaissent savent que je n’accepterais jamais un entraîneur qui ne me respectais pas.
La joueuse de 23 ans est devenue ce lundi la première joueuse Kazakhe de l’histoire à rentrer dans le top 10 du classement WTA.