« Quand je le vois en haut du classement, cela m’oblige à m’entraîner encore plus dur chaque jour » – Carlos Alcaraz sur sa rivalité avec Jannik Sinner

En conférence de presse, Carlos Alcaraz a été interrogé sur sa rivalité avec Jannik Sinner. L’Espagnol se dit tiré vers le haut par l’Italien.

Carlos Alcaraz et Jannik Sinner, Pékin 2024 Carlos Alcaraz et Jannik Sinner, Pékin 2024 (Achmad Ibrahim / AP / Sipa)

Lundi, Carlos Alcaraz va débuter sa quête de remporter un premier Open d’Australie face au Kazakhstanais Alexander Shevchenko. L’Espagnol semble avoir un tableau largement abordable pour concurrencer son grand rival, le vainqueur sortant, Jannik Sinner.

Alcaraz motivé par Sinner

Les semaines précédent un Grand Chelem sont souvent assez similaires pour les joueurs du haut du classement mondial : entraînements, exhibitions et conférences de presse sont au programme.

Ce samedi, c’est Carlos Alcaraz qui était face aux journalistes. L’Espagnol, aujourd’hui classé à la troisième place mondiale, derrière Alexander Zverev et Jannik Sinner, malgré les titres obtenus à Roland-Garros et Wimbledon l’année passée, a été interrogé sur sa manière d’aborder sa rivalité avec l’Italien. Celui-ci a remporté les deux autres titres du Grand Chelem en 2024, l’Open d’Australie et l’US Open.

« Quand je joue contre lui, j’ai un état d’esprit un peu différent. Lorsque vous affrontez les meilleurs joueurs ou le meilleur joueur du monde, vous devez faire quelque chose de différent, une préparation différente ou un état d’esprit différent ».

« Quand je suis face à lui, je sais simplement que je dois donner le meilleur de moi-même si je veux gagner. C’est tout. Si je suis dans un mauvais jour contre Jannik, il y a 99 % de chances que je perde. C’est ce que j’ai en tête à chaque fois que je vais jouer contre lui. »

L’Espganol se sent motivé par la présence d’un joueur comme Jannik Sinner :

« Ce qui est bien pour moi, c’est que quand je le vois gagner des titres, quand je le vois en haut du classement, cela m’oblige à m’entraîner encore plus dur chaque jour. À l’entraînement, je pense aux choses que je dois améliorer pour jouer contre lui. Je pense que c’est une bonne chose pour moi, de l’avoir, d’avoir une si grande rivalité jusqu’à présent, de donner le meilleur de moi-même chaque jour. »

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