Pioline « aime à penser » que ses choix de wild-cards ont été « les bons » à Bercy
Le nouveau directeur du Rolex Paris Masters a attribué les quatre sésames à Gilles Simon, Adrian Mannarino, Richard Gasquet et Arthur Rinderknech.
.Cédric Pioline reconnaît que le choix de ses quatre wild-cards pour du tableau final du Rolex Paris Masters 2022 a été « complexe » mais le nouveau directeur du tournoi constate qu’ils n’ont pas été pas été « contestés ou commentés » par les joueurs exclus de ses choix.
Parmi eux, Hugo Gaston, quart de finaliste en 2021 après avoir enflammé l’Accord Arena, a « seulement » invité pour les qualifications en 2022, où il a échoué samedi au premier tour contre Marc-Andrea Huesler. Classé à la 84e place à l’ATP, Gaston est le neuvième Français dans la hiérarchie nationale.
Seul Monfils était qualifié d’office
Aucun Français n’étant qualifié grâce à son classement ATP en dehors de Gaël Monfils (forfait), le Rolex Paris Masters a invité deux anciennes gloires du tennis français, bien connus du public, Gilles Simon (195e), dont ce sera le dernier tournoi en carrière, et Richard Gasquet (74e), puis les joueurs les plus performants sur le Tour ces derniers mois, Adrian Mannarino (41e) et Arthur Rinderknech (52e).
« J’aime à penser que les choix ont été les bons, j’ai en tout cas essayé que ce soit juste, a poursuivi Pioline. Maintenant, c’est vrai qu’entre entre le regard que nous, direction, on peut avoir et celui d’un joueur, on n’est parfois pas tout à fait en accord et ça peut un peu gripper ; ça n’a pas été le cas. Ça a été un peu complexe, mais ce n’était pas non plus une équation insoluble. »
Les autres « recalés » du tableau final parmi le Top 100 ont été Benjamin Bonzi (63e), Corentin Moutet (64e), Constant Lestienne (67e) et Quentin Halys (69e).