Van Assche lance le Masters Next Gen avec une victoire contre Shang
Le Français s’est imposé en quatre manches contre le Chinois lors du premier match de l’édition 2024.
Luca Van Assche, Next Gen Finals 2023 – © Tennis TV
Demi-finaliste du Masters Next Gen l’an passé – battu par son compatriote Arthur Fils -, Luca Van Assche a lancé l’édition 2024 avec une belle performance contre Shang Juncheng, mercredi après-midi.
128e mondial, le Français s’est imposé 4-3³, 2-4, 4-1, 4-3⁷ en 1h56 contre le 50e sur le dur intérieur de Djeddah, en Arabie Saoudite. De quoi prendre la tête du groupe rouge en attendant le duel entre les Américains Alex Michelsen et Nishesh Basavareddy.
L’expérience de l’an passé m’a beaucoup aidé.
“L’expérience de l’an passé m’a beaucoup aidé”, a déclaré le vainqueur lors de l’interview sur le court. “J’avais déjà joué avec ces règles. Pour ‘Jerry’ (le surnom de Shang Juncheng sur le circuit), c’était la première fois.”
“C’est difficile de se préparer aux sets de 4 jeux et toutes les autres règles un peu ‘bizarres’ (let joué au service, point décisif à 40-40, notamment)”, a-t-il ajouté. “Je me souviens que l’an dernier j’avais eu du mal à m’adapter au début.”
Lui (Shang Juncheng) a eu de très bon hauts, mais aussi de gros bas.
Solide du fond de court, métronome tout en sachant se montrer percutant en revers, le droitier de 20 ans a su régulièrement pousser à la faute le gaucher de 19 printemps.
“Je pense que j’ai réussi à rester régulier”, a analysé le Tricolore. “Lui a eu de très bons hauts, mais aussi de gros bas. Il jouait le feu par moments, puis faisait des erreurs ensuite. C’est aussi un peu son jeu ; je savais qu’il me faudrait être régulier, j’ai réussi à le faire, j’espère continuer comme ça.”
Van Assche affrontera le vainqueur du duel Michelsen – Basavareddy
Pour son deuxième match, Luca Van Assche affrontera le vainqueur de la rencontre opposant Alex Michelsen à Nishesh Basavareddy.
Shang Juncheng, qui a ouvert son palmarès sur le circuit principal cette saison, se mesurera quant à lui au perdant de l’empoignade 100% étasunienne.
